Discussion of impact of women's suffrage on government growth
Celui qui a découvert pourquoi l’État-Providence (qui s’est subséquemment révélé comme le parfait aspirateur d’immigration) a été mis en place, c’est John Lott. Je le considère comme l’un des meilleurs économistes américains de la jeune génération, même s’il est loin d’avoir recueilli les lauriers qu’il méritait. Il a une fâcheuse tendance à s’intéresser à des questions si chargées au niveau politique qu’elles peuvent torpiller une carrière. Il s’est plus d’une fois fait éjecter d’une université prestigieuse sous la pression du maire ou du gouverneur parce qu’il avait dit haut et fort ce qu’il fallait taire.
Ses recherches montrent que l’inflation sans précédente (et insoutenable) du rôle de l’État est due au vote des femmes. Dès qu’on permet aux femmes de voter, bingo ! l’État commence à s’occuper de corriger tout un tas d’ « injustices sociales » en mettant en place des mécanismes de redistribution massifs – qui aspirent aussi toute la misère du monde.
Voici un graphique montrant comment, dans les 10 années qui suivent l’obtention du droit de vote par les femmes, les dépenses de l’État doublent. Ce doublement est dû à la mise en place des allocation en tous genres qui forment l’État-Providence. C’est extrait de la page 163 du livre Freedomnomics de John Lott.
Labels: BookReview, Economics
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